Jean Bruneau écrit “Monté sur un char-plateau, les cornes et les sabots étaient ornés de fleurs artificielles. Il était montré à la foule comme l'héritier des sacrifices traditionnels aux dieux païens”. Les boeufs portaient des noms “Loraton”, “Kilégra”, “Férémuso”, jeux de mots choisis par les carnavaliers. Ils étaient gardés par des personnes habillées en bouchers lors du défilé. Le boeuf gras devait être tué, dépecé et vendu le jour suivant le carnaval.1)