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==== 1953 ==== 
((La résistance, 16/01/1952)) ((La résistance, 11/02/1953)) ((Ouest france, 17/02/1953)) ((la résistance, 18/02/1953)) ((Le populaure, 19/02/1953))
  * moins de voitures publicitaires : exclusivité donnée aux maisons régionales 
  * création de prix offerts soit par des commerçants, soit par des grandes marques, soit par des groupements de bonnes volontés par rues ou par quartiers (ex : prix de la place Graslin, prix de la place du Commerce...), prix des brasseries de la Meuse pour un char (75000 francs), prix de l'optique maison G. Gicquel place Delorme (25000 francs), prix de la maison de la biscotte rue des Carmes (60000 francs), prix des biscottes Magdeleines pour un char ou voiture transformée (50000 francs), prix de l'Auto école Nantaise offert par M. Cussoneau café du cycle place Saint-Pierre pour un char (25000 francs), prix Satam et Sibir offert par la maison Chédota rue Kervégan pour un groupe au-delà de 20 personnes (50000 francs), prix des garages et marchands d'accessoires automobiles (110000 francs), garages Drouin (15000 francs), garages Ford (5000 francs), M. Fruchaud (2000 francs, M. Laneau (1500 francs), électricité auto (1000 francs), garage Peugeot (1000 francs), Station Express (1000 francs), peinture auto bouteiller (1000 francs), garage Saurer Thirache (1000 francs), M. Klein (1000 francs), M. de Rousiers (1000 francs), M. Singer (1000 francs), cycles Peugeot (1000 francs). Prix de la maison de l'Imper (50000 francs), prix du cabinet Jeanneau (20000 francs), prix de la maison Rancière (25000 francs), prix des machines à coudre Blanchard (50000 francs) etc. Chaque prix est doublé par le comité des fêtes. 
  * augmentation des prix accordés aux chars et aux groupes 
  * intention de supprimer les enfants (défilé trop long), les individuels et les couples (costumes trop folkloriques)
  * interdiction de tous les costumes qui ne sont pas des costumes du carnaval 
  * vente de costumes de Pierrot ou d'arlequin à 12000 francs par des magasins pour faciliter le travestissement
  * décision pour l'année prochaine d'organiser une grande fête nocturne au cours de laquelle l'effigie du roi carnaval serait brûlée à la pointe de l'île Gloriette 
  * distribution gratuite de confettis (seulement aux travestis) pour favoriser les batailles
  * création d'un calendrier des festivités pour Nantes et sa région = annonce des fêtes deux mois à l'avance et évite les chevauchements ((ouest france, 25/02/1953))
  * demande est faite aux commerces d'offrir un paquet de confetti pour tout achat dépassant un certains montant, les nantais sont aussi invités à déchiqueter eux même du papier((ouest france, 25/02/1953))
  * les dragons (membres de la société d'équitation de Nantes habillés d'un uniforme à culotte rouge , dolman bleu et casque à crinière de cheval) participent au défilé. Renoue avec la tradition arrêtée pendant la guerre 14-18 ((La résistance, 06/03/1953))

==== 1954 ==== 
((le populaire, 03/02/1954)) ((La résistance, 13/02/1954 et 14/02/1954))

  * concours d'affiche avec prix. Les artistes nantais ont participé dont Jean Bruneau (boeuf gras) qui a gagné le concours. D'autres ont remporté un prix : Morvan (roi carnaval), Bouron (Pierrot enguirlandé), Dabin (picasso) 
  * les anciennes souveraines de la mi-carême sont invités à venir regardé le défilé depuis la tribune du comité des fêtes. Action mise en place pour répondre à la demande d'une souveraine d'avant guerre de donner plus d'égard aux anciennes reines 
  * disparition des petits chars pour des chars imposants de part leur largeur et leur longueur ((ouest france, 24/02/1954))
  * En plus des grosses têtes créées à Nantes, le comité des fêtes en acquiert à Arles et Nice ((ouest matin, 26/02/1954))
  * Le comité des fêtes de Nantes fait construire des grands plateaux tractés mécaniquement ((ouest france, 06 et 07 mars 1954))
  * Le char des reines de la mi-carême sera accompagné par des chameaux vivants ((le populaire de l'ouest, 12/03/1954))
  * Les traminots (employés de tramway) demandent s'il est possible d'offrir des places dans les enceintes réservées pour leur famille puisqu'eux travaillent pendant les défilés ((la résistance, 23/03/1954))
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